
Quel plaisir de recevoir Elodie Boulard la fée du tri.
Elodie fait des études dans le cinéma et commence sa carrière dans la pub. Alors qu’elle venait juste d’emménager en Nouvelle Zélande elle se retrouve sur un tournage irréel avec les All Blacks. En retournant en France, elle rentre dans la grande famille du cinéma et côtoie les plus grands du 7e art.
Après plus de 10 années dans cet univers… le corps d’Elodie lui dit stop à cette vie qui ne lui correspond plus.Elle avait découvert le travail de Marie Kondo, et décide de se reconvertir en Home Organiser. Son passage dans Super Nanny lui a permis de faire un lancement hors du commun.
Elle devient Elodie, la fée du tri.
Référence en France en la matière, elle est aujourd’hui à la tête d’une très belle communauté et forme à ce métier.
Je ne vous en dis pas plus, je vous souhaite la bienvenue dans l’univers d’Elodie Boulard, la fée du tri.
Pour écouter l’épisode de podcast avec Elodie Boulard, la fée du tri.
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Dans cet épisode de podcast avec Elodie Boulard, la fée du tri.découvrez :
Elodie Boulard, la fée du tri nous partage :
– Son abus infantil
– Les coulisses de ses 10 années dans le cinéma
– Sa reconversion entant qu’Home Organiser
Nous avons également parlé avec Elodie Boulard, la fée du tri :
– Sa perte de sens
– La construction de sa maison 100% autonome
J’ai peu de souvenirs de mon enfance parce que j’ai été abusée par mon oncle quand j’étais petite. Donc, j’ai quelques flashs comme ça de petits souvenirs, mais je ne peux pas trop savoir la petite fille que j’étais. Je sais en tout cas, que j’adorais la nature et j’adore toujours la nature. J’étais vraiment connectée à la nature, j’aimais bien être dehors. Ça, c’est des bons souvenirs que j’ai de mon enfance.
Ça a été tellement violent qu’effectivement, mon cerveau a complètement buggé. Je m’en suis rendue compte vraiment tard. À partir de l’adolescence, j’ai toujours été très en colère contre mon père. Il y avait un truc, donc mon père n’a rien à voir dans l’histoire. Je veux dire, il n’y a pas eu d’abus de la part de mon père, mais il est en lien. C’était son frère. J’avais cette colère hyper présente.
Je me disais: Moi, je n’ai pas de problème, ça va, j’ai une enfance heureuse, avec des parents qui sont cool, ils m’énervent, mais ils sont cool. Il y avait vraiment ce truc un peu de déni. Et en fait, c’est arrivé parce que j’ai commencé à travailler sur moi suite à une rupture qui a été un peu compliquée. J’avais l’impression de reproduire, on peut dire un peu toujours les mêmes schémas dans les relations. Donc, j’ai commencé à ouvrir la porte du développement personnel.
Je pense que j’avais entre 27 et là, ça a été le début de l’engrenage infini, puisque je suis de nature très curieuse. J’ai commencé à tester plein de choses, mais de manière large. J’ai fait du yoga, de l’acuponcture, du chamanisme. J’ai testé plein de choses parce que j’adore, je trouve ça passionnant. Je suis très terre à terre, donc je suis très ouverte à tout ce qui se passe au-dessus. J’y crois beaucoup, mais bon. C’est en faisant des choses comme ça, il y a des choses qui revenaient. Il y a des choses un peu glauque qui remontaient. Je ne savais pas, c’était de l’ordre du rêve. Donc, j’en ai parlé à ma famille parce que je l’ai identifié. J’ai dit: Je sais que j’ai été abusée, etc. Mais je n’avais pas de choses précise à leur raconter en me disant: C’était à tel endroit, il s’est passé ça. Donc, je l’ai annoncé à ma famille. C’est remonté, je pense que je devais avoir 25 ans.
Je filmais, je projetais, je filmais…. J’aime bien un peu tout ce qui est technique. Et donc, petit à petit, ça s’est immicé comme ça. J’ai fait un bac scientifique, donc je suis très scientifique, j’aime bien les chiffres. Et en amont du bac, j’ai dit: Je postule dans plein de trucs différents, notamment des prépas physique, parce que tu vois, sortie d’école et quand même un BTS audiovisuel, et ce n’était pas si accessible que ça. En fait, il ne prenait que 10 personnes dans les BTS. Je pense que c’est toujours le cas sur dossier. Donc, j’ai été refusée à Boulogne. Je me souviens, ce n’était pas facile. Par contre, j’étais sur liste d’attente à Roubaix. Je me souviens d’avoir appris que j’étais prise à Roubaix et j’étais, je me souviens, en cours de physique, en terminale. Et j’avais un copain à l’époque, que j’avais depuis longtemps, trois ans et tout, premier amour. Et j’ai reçu ce truc-là et je me suis effondrée dans le cours. Je lui ai demandé à sortir aller aux toilettes pour pleurer parce que je me suis dit: Mais comment je vais faire ? Je vais habiter loin de lui. Et en même temps, super contente de faire un BTS de cinéma en option image.
J’avoue que mes parents, ils ont été hyper cool. Déjà, mes parents, ils savaient que… Je pense qu’ils savaient déjà que quand j’avais un truc en tête Ils m’ont vraiment soutenu. Franchement, ils ont été super parce que je n’ai pas souvenir d’avoir bataillé. Ma mère m’a soutenu, on est allé à Roubaix ensemble, on a rencontré des gens qui faisaient des écoles de cinéma. Ils ont vraiment été derrière moi et il n’y a pas eu de débat de: Non, tu ne fais pas ça. Je m’étais quand même inscrite dans d’autres prépas pour voir, mais ils m’ont complètement fait confiance et ils m’ont accompagné.
J’ai eu ce truc-là en travaillant dans le cinéma en me disant: J’ai trop de la chance, donc je peux pas vraiment « me plaindre ». Et puis j’étais jeune. Il y a un peu ce truc d’accepter tout et n’importe quoi : qu’on nous parle mal, qu’on respecte pas nos horaires, etc.
À cette époque, je me disais: Je ne peux rien dire, parce que si je dis quelque chose, c’est fini, je travaillerai plus jamais dans le cinéma. Mais c’était très dur.
C’était un tournage qui était génial, parce que tu rencontres des acteurs, tu fais des rencontres de dingue, mais c’était hyper dur.
Il y a des films, ça se passe très bien et tout, mais on est quand même dans un truc où il y a beaucoup d’ego, il n’y a pas beaucoup de respect.
Sur certains films, il n’y a pas beaucoup de respect. Il y a vraiment une espèce de hiérarchie. Toi, tu es un assistant et moi, je suis un chef. En fait, c’est comme ça. Donc, tu es payée moins et tu fais le travail le plus dur. Et moi, je suis payé plus. C’est un autre travail. Je ne dis pas que ce n’est pas dur d’être chef. Mais oui, il y avait un truc un peu comme ça de hiérarchie. Encore une fois, pas sur tous les films, mais parfois, où tu pétais un cable avec des acteurs qui sont payés je ne sais pas combien, qui font des scènes et des comédies. Tu te retrouves à faire des heures sup, il fait froid et c’est la nuit et toi, tu es comme un con. Et lui, on le ramène chez lui en voiture et on le cocoonne et toi, tu es là dans la boue à te faire hurler dessus. Tu es là: Non, vous êtes des malades, en fait, vraiment. Mais j’ai quand même tenu 10 ans parce qu’il y avait un côté aussi cool et que j’ai appris plein de choses super.
Qu’est-ce qui t’as fait arrêter ?
C’était un trop-plein. J’en avais déjà un peu marre, mais il faut savoir ce que tu veux faire avant d’arrêter. Puis nous, l’intermittence, tu n’as pas deux ans de chômage. J’avais 6 mois d’intermittence derrière, je n’avais pas… J’avais un nouveau copain avec qui j’avais acheté une maison, etc. Et on s’est séparé. En fait, ça a été un peu… Donc j’étais hyper mal, c’était très compliqué, etc. Et je suis partie sur un tournage en Corse. Ça a été le pire tournage de ma vie, clairement, parce que moi, j’étais mal. Donc, j’ai déclenché physiquement des problématiques. J’ai fait cystite, infection urinaire, j’avais peur d’avoir chopé un truc un peu plus grave. Tu es en Corse, donc tu es toujours en train de bosser, donc tu ne peux pas trop faire des examens, etc. Donc, j’ai décidé d’arrêter. Je savais qu’en disant: J’arrête, je pars du film, il faut me remplacer, que c’était la fin. Et ça a été difficile parce qu’avec mon chef qui m’a qui m’a donné plein de boulot, plein de choses, là, je le laissais un peu tomber. Je ne les ai pas laissés dans la galère, ils ont trouvé quelqu’un d’autre.
Et en fait, sur ce tournage-là, il y avait des malades, des malades mentaux. Donc, on travaillait deux jours de nuit, deux jours de nuit. On travaillait dans l’eau. On a fait des scènes dans la mer et tout, donc tu es là. Moi, j’étais assistant de caméra, donc tout ce qui est technique, c’est chiant parce qu’il faut protéger le matériel, il faut faire attention, etc. Il faut aller vite quand les comédiens sont prêts et tout. Là, on avait un réalisateur qui était complètement cinglé, c’est-à-dire que le mec, il ne bossait pas ses trucs, donc il faisait tout dans tous les axes et comme ça, donc on faisait 12, 13, 14 heures par jour. Personne ne disait rien. On avait un chef à la technique, un chef opérateur qui nous parlait comme de la merde, comme je n’ai jamais vu ça. Donc, on n’avait pas le droit de toucher la caméra.
Donc, ça plus ça plus ça, j’ai dit: Non, mais vous êtes vraiment cinglés. Je ne cautionne plus vraiment ça. Et en parallèle quand même, parce que ce n’est pas juste arrivé comme ça, j’avais J’ai découvert Marie Kondo, une énergie beaucoup plus douce, autre chose. Et j’ai découvert que le home organising était un métier et donc ça commençait un peu à trotter dans ma tête. Mais bon, à cette époque-là, je ne m’étais pas du tout dit que j’allais faire ça, mais je m’étais dit: Il faut que j’arrête pour ma santé. Parce que ça commençait à vraiment impacter ma santé. Je sentais que c’était n’importe quoi.
Et puis cette copine, cette fameuse copine Alexandra comme quoi, c’est vrai qu’en parlant, je pose le truc, mais elle a quand même mis des petites graines sur mes métiers d’avenir. Elle m’envoie, quelques mois plus tard, un extrait d’une émission radio d’une fille qui parlait de son métier, mais une Belge. Je me suis dit: Tiens, je vais quand même la contacter. Elle faisait des sessions découvertes. Je suis partie à Namur, je suis partie en Belgique pour la rencontrer. Et là, ça a été une évidence. Je me suis dit: C’est bon, c’est ça que je veux faire. Je veux me lancer.
Je vais me lancer à mon compte. Si elle, elle peut y arriver… En fait, c’est vraiment ce truc que je me suis répété. Je me Je me suis dit: Si elle peut y arriver, moi, je peux y arriver. Parce qu’on était assez proche. En plus, elle s’appelait Élodie. Il y avait un truc un peu… Je ne sais pas comment je vais faire, mais de toute façon, là, je ne bosse plus. Je bossais dans un club de jazz, je faisais des petits boulots et tout. Mais de toute façon, Je n’ai pas grand-chose à perdre. C’est elle qui m’a mis un peu sur ce chemin-là. C’est comme ça que ça s’est passé.
Le métier de Home Organizer, moi, j’aime bien, je garde le mot en anglais, Home Organizer, mais on peut dire professionnel de l’organisation. On a cette particularité d’aller chez des particuliers pour les aider à trier leur maison, donc trier tous les objets qu’ils ont chez eux pour voir ce qu’on garde et ce qu’on ne garde pas. Une fois que tout a été trié, on les aide à ranger et organiser pour que ce soit logique, pratique pour toutes les personnes qui habitent dans la maison. On a vraiment ces deux étapes-là parce que souvent, les gens y rangent, mais ils ne trient pas. Ou alors ils trient, mais ils vont trier 10, 20%, alors qu’avec nous, il y a 60% des choses qui s’en vont, parce qu’on se rend vraiment compte. Quand on pose les bonnes questions, on se rend vraiment compte qu’il y a plein de choses dont on n’a pas besoin. En gros, on peut aller chez des particuliers. Quand on va chez des professionnels, ça s’appelle plutôt du office organizing.
C’est allé assez vite dans le sens où j’ai eu cette idée de faire ça. J’ai décidé de déménager à Bordeaux parce que je voulait changer de région. Donc je déménage à Bordeaux. Juste avant de déménager, mon ancien métier me contacte. Par des contacts de Facebook et tout, on me dit: On cherche une homme organisé pour l’émission de Super Nani. Est-ce que tu connais quelqu’un ? Je décide d’y aller. Donc je fais cette émission et juste le lendemain de cette émission, je déménage. Je ne m’étais pas encore lancé que j’avais fait cette émission. Et en fait, le fait d’avoir fait cette émission, on m’a dit: Là, ça sort dans trois mois. Donc moi, je me suis mis au taquet en me disant: Il faut que j’ai tout fait en trois mois, que mon entreprise soit prête. Donc déjà, ça, c’était super parce que ça m’a donné une deadline. Je n’avais plus de chômage. Donc là, je puisais sur mes économies personnelles. Donc j’ai déménagé à Bordeaux, il y a un pote qui m’a hébergé, puis j’ai trouvé rapidement une petite maison grâce à mes parents qui se sont portés caution.
Il y avait comme ça les deux options possibles. J’ai rempli mes formations tout le temps. Jusqu’en 2000, j’ai fait deux ans et demi complet de formations, sauf que je continuais à faire des mission de homo-organizing à côté. Et en fait, évidemment, là, je suis arrivée, vraiment, j’ai frôlé le burn out parce que ce n’était pas possible.
J’ai mis beaucoup de temps à faire un choix, mais j’ai finalement décidé d’arrêter de faire des missions. Ça a été compliqué pour moi de lâcher le bébé un peu. Mais voilà, j’ai fini par le faire. Et comme je ne voulais pas le lâcher comme ça, c’est là que j’ai décidé de monter un réseau d’ambassadrices pour me dire: Je peux continuer à répondre à la des demandes des clients sur toute la France et moi, je continue à former. Et en fait, j’avais quand même cette idée derrière la tête de faire ma propre émission et de pouvoir, le jour où je faisais ma propre émission, répondre à la demande des clients un un peu comme Stéphane Plaza. Je passe à la télé, les gens trouvent ça génial, ils veulent faire appel à nous et j’ai des petites fées dans toute la France qui vont être là, au taquet, pour répondre à la demande. L’émission n’est toujours pas arrivée, je ne désespère pas, mais il y a des émissions qui sont tournés, mais ils ne me choisissent pas moi, mais il y a une raison que je n’ai pas encore compris.
À quel moment dans ta vie tu t’es dit pourquoi pas moi ?
Quand j’ai rencontré Elodie en Belgique, cette home organizer, vraiment, je me Je me suis dit : Pourquoi pas moi ? C’est ce que je n’arrête pas de répéter aux filles quand je les forme. Je leur dis: Moi, je ne suis pas plus incroyable que vous. Quand j’ai commencé, j’étais comme vous. Je me suis formée, j’ai appris des choses. Mais en fait, à ce moment-là, je me suis dit : Pourquoi pas moi, vraiment ? Quand j’ai lu Marie Kondo, je me suis dit : Pourquoi pas moi ? Mais c’est vite redescendu parce que Marie Kondo, japonaise, pas la même culture. Mais alors là, quand j’ai vu Élodie, qui était en Belgique, elle s’appelait Elodie, je me suis dit: Pourquoi pas moi ? Direct.
C’est quoi pour toi la réussite ?
La réussite, pour moi, il y a vraiment un lien avec le bonheur. Il y a vraiment, je le vois sur certaines personnes, c’est pas lié au financier, à réussir son entreprise, forcément et tout. Même si pour moi, ça y contribue, parce que c’est important. Mais non, la réussite, c’est de vraiment réussir à vivre son quotidien et de profiter de chaque moment. Pour moi, c’est ça de réussir sa vie.
Et c’est quoi pour toi un échec ?
Un échec… C’est un peu bateau comme tout le monde dit, mais en gros, j’essaie toujours de me dire: Ce n’est pas un échec, mais sur le moment, je vais le ressentir comme un échec quand ça vient me déstabiliser ou que ça me rend triste ou quand j’ai mis beaucoup d’énergie dans quelque chose et que ça n’a pas fonctionné. Je le prends après comme ils le sont, tu vois de vivre. Mais au début, c’est plus le temps. L’échec, ça va être plus la fameuse la loi de Pareto des 80-20, de me dire: Putain, j’ai passé 80% de mon temps là-dessus et ça me rapporte 20%. Là, c’est un échec. Et la prochaine fois, j’essaierai de faire en sens inverse. C’est plutôt ça.
Ça veut dire quoi pour toi être alignée ?
Être aligné, c’est dans le moment présent. C’est vraiment… Je suis là, donc je sens mon corps. Mon corps, j’ai mal, donc je m’écoute. Je suis connectée aussi à là-haut, donc j’écoute mon intuition. Peu importe comment on l’appelle, mes guides, je je regarde les messages, je vois les choses qui se passent et je suis connectée aussi à mon environnement. Pour moi, c’est ça, vraiment l’alignement, parfait.
Est-ce qu’il y a un conseil que tu aurais aimé recevoir et que tu aimerais donner aujourd’hui ?
C’est peut-être de se dire qu’on n’est pas obligé d’y aller en force. C’est-à-dire que oui, c’est dur d’être à son compte, etc, mais en fait, on peut y aller en douceur. Et parfois, c’est bien aussi de laisser venir les choses, de semer des graines et de laisser venir et de vraiment… J’aime bien cette métaphore, mais de le dire, de cultiver son jardin et d’arrêter d’aller chasser tout le temps. Parce que si on chasse tout le temps, on ne peut pas s’occuper des graines qu’on a semées. Et c’est vraiment ce truc-là aussi de dire: Tranquille, arrête de lancer une idée, machin, tu auras plein d’idées, note-les quelque part, mais occupe-toi d’abord de celles que tu as semées. Ça m’aurait fait gagner, je pense, perdre moins d’énergie. Ça m’aurait fait perdre moins d’énergie, d’y aller moins en force. Donc plus de douceur et de faire confiance. De faire confiance à l’univers quand on a mis des choses en place, il faut que vous bougez, mais quand on a semé les graines, si ça doit arriver, ça arrivera.
La vie est très courte, donc que demain, tout peut changer et que chaque minute où elle ne prend pas une décision, c’est une minute de perdue pour la suite, pour un avenir encore plus beau et meilleur. Donc, pour pas avoir de regrets de se dire: J’ai changé de vie à 60 ans, mais ça fait 20 ans que j’en ai marre. Il faut y aller parce que surtout, il y a deux choses qui sont, pour moi, importante à bien apprendre à bien comprendre, c’est qu’il n’y a rien à perdre, jamais, et que tout est possible. Tant qu’on ne nous a pas prouvé que c’était impossible, c’est possible. Donc, il faut vraiment y aller, se mettre en action.
Le livre recommandé par Elodie Boulard la fée du tri : Le pouvoir du Suricate
Pour en savoir plus sur Elodie Boulard après le podcast
Le site internet d’Elodie Boulard, la fée du tri.
Le compte instagram d’Elodie Boulard, la fée du tri.
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