Podcast 62 – Claire Delahaye : Quitter Paris à 24 ans pour Marseille et se créer son métier sur mesure. Du motif textile au design de jardin avec Slowgarden

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Je suis ravie de vous retrouver aujourd’hui pour un nouvel épisode du podcast avec Claire Delahaye, fondatrice de Slowgarden. Un grand merci d’avoir été aussi nombreux pour mon webinar, pourquoi et comment trouver sa mission de vie et écoute sa petite voix. Le replay est encore disponible quelques jours, vous trouverez le lien sur le site pourquoipasmoi.co et sur le lien dans ma bio sur instagram. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter Claire. Je la connais depuis plusieurs années et j’avais très envie de lui tendre mon micro. J’ai vu naître son entreprise, et je trouve ça incroyable ce chemin parcouru.
Claire a fait une école d’arts appliqués et c’est spécialisée dans le textile. Son 1er travail, faire du design textile. En parallèle, elle avait un blog sur l’univers du jardin, elle avait juste l’envie de partager la transformation de sa terrasse et partager ses astuces. Un jour elle a eu l’opportunité de designer la terrasse d’une boutique, puis d’un particulier. Claire s’est créé un métier sur mesure : Concepteur de terrasses et jardins. Elle s’est lancée toute seule, son mari l’a rejoint il y a maintenant quelques années. Leur travail est incroyable. Je suis objective car j’ai fait 2 fois appel à eux 🙂 Je vous souhaite la bienvenue dans l’univers de Claire Delahaye.

J’espère que ce nouvel épisode vous aura plu, si le podcast vous plaît ne ratez aucun épisode en vous abonnant sur votre plateforme d’écoute préférée. Je vous donne rdv demain sur la newsletter de Pourquoi pas moi et à jeudi prochain pour un nouvel épisode.

L’objet choisi par Claire Delahaye de Slowgarden dans le podcast
Pour en savoir + sur Claire Delahaye et Slowgarden suite à l’écoute du podcast
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J’en ai un peu voulu, pas forcément à mes parents, mais plutôt à l’ensemble des professeurs et des enseignants, qui te font rêver mais qui ne te donnent pas beaucoup de pistes sur ce que tu peux vraiment faire après. Ça ce n’était pas évident.

On avait tous les deux envie de ne pas rester à Paris toute notre vie, mais il faut qu’on trouve une façon d’en partir et être heureux aussi au niveau de notre vie professionnelle.

On s’est dit c’est une ville suffisamment grande pour inventer notre job si on ne trouve pas. On s’est dit on se lance c’est le moment, si non on va trouver un job tous les deux et plus bouger ! Donc on va se lancer.

La compétition ça ne motive pas, j’avais plutôt envie qu’on invente notre truc à nous. Mais avec cette volonté première qui était un niveau départ.

J’avais peur de la partie argent, je ne savais pas combien valait mon travail.

Je ne me sentais pas légitime car c’était la 1ère fois que je faisais ça.
Et puis je ne savais pas du tout combien facturer. Ça c’est des grosses questions et on ne trouve la réponse nulle part. A l’époque tu pouvais être décoratrice mais pour l’extérieur ça n’existait pas trop, alors c’était vraiment jardinier ou paysagiste pour des gros jardins. Les tarifs ne correspondaient pas du tout à ce que je faisais.

J’ai aussi été un peu vendeuse aux Galeries Lafayette, pour avoir une rentrée d’argent régulière. Mais ça te motive en plus quand tu veux faire un métier qui est un peu compliqué à mettre en place, en tout cas au début, surtout avec ce côté saisonnier… Continuer d’avoir des petits jobs à côté ça te motive beaucoup. Parce que quand tu fais ces petits jobs, tu te dis je veux être autonome avec mon projet, je veux que ça marche, je ne veux pas faire ça tout le temps. Donc c’est très motivant.

Le fait d’avoir travaillé, été pigiste pour Marie Claire maison, ça vous montre ce que les journalistes ont envie d’avoir comme type de photos, d’images, d’informations…

La réussite c’est d’être heureux dans sa vie.

Le renoncement en créant Slowgarden c’est d’abandonner l’univers du textile qui me plaisait beaucoup.

Je suis fière d’avoir fait tout toute seule.

Il y a sûrement une part de chance, mais c’est toi qui doit la déclencher, ça c’est sûr.

Quand il y a un projet, si tu n’arrives pas à faire quelque chose, à le mettre en place. Il faut être patient. Tu vas trouver une façon, peut-être un peu détournée ou différente de ce que les autres ont l’habitude de faire. Ne pas lâcher. Quand tu as à quelque chose en tête même si tu n’arrives pas le faire tout de suite, tu le gardes de côté.

L’objet choisi par Claire Delahaye dans le podcast

Claire Delahaye

Pour en savoir + sur Claire Delahaye et Slowgarden suite à l’écoute du podcast

Le blog de Claire Delahaye sur Marie-Claire Maison
Le site de Slowgarden
Slowgarden sur instagram

L’épisode de podcast dont on parle

Country Lodge

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