Un petit mot avant d’introduire mon invitée du podcast Isabelle Layer, une femme exceptionnel que j’ai le plaisir de mettre en lumière aujourd’hui. La semaine dernière, la communauté de Pourquoi pas moi.co sur instagram a dépassé les 5k personnes. Alors merci pour votre confiance, merci pour vos messages, merci de me partager votre cheminement, vos petits et grands pas.
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir une femme d’une extrême lumière.
Isabelle a pour mission de vie de vie de dire aux gens c’est possible, leur redonner la pêche ! Et vous verrez qu’en écoutant cet épisode, vous allez avoir bénéficié d’un shoot d’énergie. Isabelle a commencé sa vie professionnelle en étant danseuse, elle est devenue ensuite une journaliste reconnue, aujourd’hui elle est journaliste / comédienne / auteure. Je vous souhaite la bienvenue dans l’univers d’Isabelle Layer.
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L’objet choisi par Isabelle Layer dans le podcast
Pour en savoir + sur Isabelle Layer suite à l’écoute du podcast
Les livres dont on parle avec Isabelle Layer
Pour moi, tout ce qui est spiritualité, zen, bouddhisme, et tout ça c’est des choses qui me parlent énormément alors que je suis pas bouddhiste mais je pense que j’aurais carrément pu l’être.
Ce pays (la Belgique) m’a offert cette simplicité d’être et cette simplicité de relations à l’autre.
Je parle aux grands boss comme aux gens les plus humbles de la même manière. (….) Je parle d’âme à âme sans statut sans posture.
Petite fille, je n’ai pas été aimée, on ne s’est pas trop occupé de moi, j’étais pas bien dans ma peau (…) et du coup merci la vie car j’ai été obligée de trouver quelque chose pour me donner de l’espoir pour me dire ça vaut la peine de vivre, ce sont mes rêves.
Je me suis accrochée à mes rêves.
Ça ne commençait pas très bien mais ce qui est génial, c’est que du coup je suis vraiment là pour témoigner que même si on n’a pas les cartes (…) en y croyant on se donne les moyens en travaillant c’est possible d’y arriver. Ca ne vient pas du tout du jour au lendemain, ça il faut vraiment le comprendre, c’est un travail de longue haleine mais c’est aussi un travail qui demande de l’engagement.
Je suis allée chercher à force de travail, trop même parfois.
J’ai une croyance que tout s’obtient par le travail intense.
Je suis faite pour transmettre.
L’important, c’est que chaque jour soit riche, intéressant, heureux et joyeux et au bout du compte on aura une belle vie.
Mes rêves, petite, c’était d’être heureuse. Je m’inventais des vies.
Il y a des choses qui me dépassent comme ce besoin de parler aux gens, de leur montrer toute la beauté du monde et de leur dire croyez en vos rêves. C’est comme une mission qui m’est tombée dessus.
Pour moi la mission de vie, la mienne en tout cas, c’est quelque chose que tu aimes passionnément faire, dans lequel tu te transcendes, tu t’éclates, le truc que tu aimes faire et partager et par là même qui fait du bien aux autres.
La maladie, c’est le mal qui a dit.
Pour connaître le chemin qu’on va prendre, il faut savoir où on a envie d’aller.
Toutes les réponses sont en nous.
A 18 ans, je gagnais déjà ma vie avec la danse.
Il n’y avait pas beaucoup de reconnaissance (…) je me fatiguais avec l’humain. (…) Je me suis dit « c’est peut-être le moment de changer, je ne veux pas rester dans quelque chose qui ne me va pas ».
Je remplaçais des copains, des copines sur des petites piges, des petites interviews, dès qu’on me proposait je le faisais parce que j’adore.
Je suis arrivée à Paris, j’ai tenté ma chance. (…) Je me suis dit « qu’est-ce que je suis capable de faire toute seule, d’une page blanche » (…) j’ai recommencé à zéro sans argent sans rien. (…) J’ai trouvé un petit job de journaliste à la radio du voyage, c’était génial mais ils ne pouvaient me garder que 3-4 mois.
Je me suis retrouvée du jour au lendemain à quitter un boulot dans lequel je m’éclatais (…) et derrière rien, le vide.
Je vis dans la synchronicité.
Je suis entrée à France Télévisions – France 4 initialement – au poste d’assistante alors que j’avais été chef d’entreprise, que j’étais journaliste que ceci que cela.
A France 4, j’ai tout de suite vu là où il y avait des choses à faire, commencé à coordonner des trucs, proposer plein d’idées.
J’ai commencé par le documentaire (…) c’est un de mes formats préférés.
Le spectacle c’est ma vie, je transpire de ça et quand il a fallu quelqu’un pour s’occuper du spectacle du coup il m’a dit « allez c’est pour toi », c’est génial. Je me suis éclatée.
J’ai commencé à inventer ce système de collaboration entre chaînes et du coup ça a créé un poste où je faisais la coordination pour les chaînes.
A un moment, on m’a proposé de faire du repérage de talents. (…) J’ai fait ça pendant 3-4 ans.
Sur France Info, j’ai la chronique le mardi soir dans le 23h de Patricia Loison (…) et j’ai surtout mon émission, depuis cette année, qui s’appelle l’Interview Culture (…) tous les samedis et tous les dimanches en access donc 19h50 le samedi et 18h50 le dimanche.
Je vis ce que je suis et je suis ce que je vis.
Il ne faut pas que nos passions nous entraînent dans quelque chose où on a mal et c’est contre-productif.
Ne rien faire, ce n’est pas qu’on ne fait rien, on se remplit d’énergie (…) on n’a qu’un corps donc attention attention attention.
Une fois que je me suis sentie en sécurité de vie, tout de suite est revenu le besoin d’exprimer l’artistique, pas forcément d’en faire un métier mais de jouer, de danser, de chanter.
Le spectacle de mes rêves, il y a une seule personne qui le connaît, c’est moi donc il est en moi. Et donc, j’ai commencé un peu à rêver.
Ne dites jamais non à la place des gens.
Donner, c’est le plus beau geste du monde. J’ai appris à donner aux bonnes personnes.
Si tu veux être respectée, il faut que tu te respectes toi. Tu montres ton mode d’emploi.
L’amour dont tu as besoin, il est en toi.
Il y a une grosse arnaque sur la relation amoureuse où on attend de l’autre qu’il remplisse nos besoins, l’autre attend de nous qu’il remplisse ses besoins, or qui connaît mieux que nous nos besoins nous-mêmes, personne d’autre.
J’ai commencé à faire attention à cette petite voix et lui donner de plus en plus de place et de plus en plus tôt. Et je suis le flow.
Ma mission c’est ça, dire aux gens « c’est possible », leur redonner la pêche,
Je ne suis pas devenue coach parce que j’ai fait des études de coaching, j’ai fait des études de coaching parce que j’étais coach et je voulais avoir les bons outils pour accompagner les gens parce que c’est très important, c’est une vraie responsabilité et qu’en plus si je pouvais décupler l’effet allons-y quoi. C’est dingue comme ça marche, c’est hallucinant.
Je célèbre mes réussites de moi à moi. Mais pour moi, ce n’est jamais fini donc je suis hyper heureuse, mais je n’ai pas de petits sacres. Je me remercie mais j’y passe pas 12 heures car j’ai toujours un rêve derrière.
On est très nombreux à être passé par là, ce chemin on le connaît, on a envie de la partager parce qu’on sait que ça fait du bien et les gens qui sont heureux ils ont envie que les autres soient heureux. Mais après, c’est aux autres de prendre les choses en main en lisant des livres, en prenant des coachs, peu importe le chemin comme ils auront envie de le faire. Il n’y a pas une recette, il y a sa propre recette.
A quel moment Isabelle Layer s’est dit pourquoi pas moi ?
Depuis que je suis toute petite grâce à mes rêves.
Quand tu es tellement concentrée sur tes rêves, tu ne doutes pas parce que tu ne te poses pas la question tu sais que c’est ça qu’il faut.(…) C’est tellement puissant que c’est une évidence. Si tu choisis ton rêve de manière juste, c’est ce que tu es en fait ton rêve, donc il n’y a pas de question à se poser, c’est ton essence.
Il n’y a pas de recette, c’est votre vie. Choisissez, faites comme vous voulez, vous êtes libre, faites les choses comme vous voulez c’est votre vie.
(La Réussite) c’est être heureux, faire ce qu’on aime et arriver à faire ce qu’on aime dans le bonheur, la joie et la partage vraiment vraiment vraiment.
Que dirait La petite Isabelle de 6 ans ?
J’avais beaucoup de peurs, de tristesse, de mal-être, je pense qu’elle me dirait « Bravo ». Bravo aussi pour toute l’énergie, le travail mais au-delà du raisonnable tu n’as pas lâché tu as bossé parfois jour et nuit. Et elle aurait envie de partager ça avec tous les petits enfants en souffrance du monde et leur dire “ne vous inquiétez pas croyez en vous ça ira”.
Chacun d’entre nous a les facultés de faire quelque chose vraiment et de s’en sortir d’une manière ou d’une autre et d’avancer vers là où il a envie d’aller. (…) L’important n’est pas tant d’atteindre le but et ce rêve, l’important c’est d’être dans la joie de ce chemin-là et d’avancer parce que de toute façon quand on a atteint le rêve il y en a toujours un autre derrière sinon on va où ? On fait quoi ?
Quels sont les renoncements d’Isabelle Layer ?
J’aime pas ce mot-là.
L’important pour moi, c’est d’exprimer ce côté artistique donc je continue à chanter, à danser. J’aimerais le faire un peu plus honnêtement mais là je prépare des trucs.
J’ai pas la sensation de renoncer parce que quand j’ai ça je m’arrange pour le faire. (…) Il n’y a pas de renoncements, je fais.
Quelle a été la plus grande difficulté à gérer pour Isabelle Layer ?
C’est sortir de mon enfance, c’est sortir de ce mal-être total et dire que quand t’es pas aimé c’est pas cool t’as l’impression d’être de la merde, de rien valoir d’être nul d’être moche d’être sale, c’est compliqué de vivre. Donc sortir de ça, ça a été grâce à la danse.
Quelque chose qui est mauvais pour toi ça doit partir.
De quoi Isabelle Layer est la plus fière aujourd’hui ?
De tout l’amour que j’ai et d’être restée ce cœur pur malgré tout ce que j’ai vu et d’avoir réussi à ne pas être abîmée par les trahisons, par mon enfance…
La chance, on se la construit. C’est quelque chose qu’on met en place.
La chance, ça se cultive.
Il ne faut culpabiliser de rien, on est ici maintenant, le passé est le passé il nous a amené jusqu’à ici c’est très bien c’est comme ça. Aujourd’hui, ne culpabilisons pas mais mettons en place petit à petit tout ce qu’il faut pour avoir la plus belle vie possible, la vie qui nous ressemble et la vie dans laquelle on sera heureux. Et tout va bien, culpabiliser ne sert à rien c’est juste de la perte de temps, perte d’énergie psychique et se faire du mal pour se faire du mal ça DÉGAGE !
Le conseil qu’Isabelle Layer aurait aimé recevoir et qu’elle donne aujourd’hui :
Donnez-vous les moyens, apprenez, travaillez étape par étape. Tout vient à point à qui sait attendre.
Chaque étape est essentielle et c’est important d’apprendre petit à petit.
Tentez, trompez-vous, apprenez, rien n’est grave mais allez-y avec passion sur ce que vous aimez le plus au monde.
Le meilleur conseil qu’on ait donné Isabelle Layer ?
Les gens veulent parler d’eux (…) donc tu poses des questions comme ça tu sauras quoi leur dire et ils auront à te répondre et tu pourras échanger avec les gens.
Les prochains rêves d’Isabelle Layer :
Aller parler aux gens plus concrètement à travers les conférences, des rencontres avec le livre et si possible avec du monde et que l’énergie est partagée. Des stages, des workshops, …
Merci à la dame quand j’étais petite qui est venue me parler.
Merci à tous les artistes qui partagent la beauté du monde, aux gens comme toi aussi qui accompagnent, qui donnent aussi aux personnes comme moi la possibilité de s’exprimer et de transmettre le message.
Ensemble, on va le faire ce monde meilleur.
L’objet choisi par Isabelle Layer
Découvrez la photo de l’objet choisi par Isabelle Layer pour se présenter dans le podcast.
Pour en savoir + sur Isabelle Layer
Le compte Instagram d’Isabelle Layer
Le livre d’Isabelle Layer : Je deviens l’artiste de ma vie
Les livres dont on parle avec Isabelle Layer
Voici les conseils lecture d’Isabelle Layer dans le podcast.
“L’homme qui voulait être heureux” de Laurent Gounelle
“Les renoncements nécessaires” de Judith Viorst
Suite à l’écoute du podcast avec Isabelle Layer, vous aussi vous rêvez de découvrir quelle est votre mission de vie ? C’est justement la mission de Pourquoi pas moi, vous aider à la trouver ! Pour en savoir + sur le bilan de compétences nouvelle génération, c’est par ici.