Avant de vous parler de Nathan Paulin mon invité du jour dans le podcast, je voulais vous dire à quel point je suis heureuse car aujourd’hui est un grand jour !
Vous l’aurez peut-être remarqué, la couverture de l’épisode de Nathan a un look différent de celle de d’habitude. Pour fêter les 2 ans du podcast, j’ai décidé de faire une petit rafraîchissement dans l’univers visuel de Pourquoi pas moi. Je vous en reparlerai prochainement. Si vous ne me suivez pas encore sur Linkedin ou Instagram , vous savez ce qu’il vous reste à faire 😉
Cela fait 2 ans également que Nathan m’a dit oui pour que je l’interviewe, mais le temps a filé. Quel plaisir de pouvoir vous présenter son témoignage aujourd’hui. Pourquoi je souhaitais tant l’interviewer ? Tout simplement parce qu’il me fascine ! Être funambule quand enfant on avait la peur du vide… je trouve ça extraordinaire. Vous allez le découvrir, Nathan s’est créé un métier sur mesure qui a du sens pour lui. Je ne vous en dis pas plus, je vous souhaite la bienvenue dans l’univers de Nathan Paulin.
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L’objet choisi par Nathan Paulin dans le podcast
Pour en savoir + sur Nathan Paulin suite à l’écoute du podcast
« Je ne pleurais pas de peur, mais je pleurais parce que j’étais hyper déçu de moi de ne pas pouvoir réussir à traverser ce passage qui m’empêchait d’aller dans des endroits qui me faisaient rêver »
« J’ai dit que je n’avais pas forcément de rêve pour la suite, mais j’aimais beaucoup passer du temps en montagne à cette époque et là j’étais frustré, j’étais déçu de moi même de ne pas réussir à traverser cette arête, quand j’y repasse aujourd’hui ça ne me fait plus grand chose »
« J’étais avec ma mère dans des pentes un peu raides un peu gelées, je disais “mais maman pourquoi tu m’as ramené ici, c’est n’importe quoi, pourquoi tu fais ça” et aujourd’hui, je fais des choses qui sont beaucoup plus extrêmes que ça et ma mère me le rappel souvent »
« Quand j’ai essayé la première fois dans le vide, je suis tombé, j’ai été terrorisé et je me suis dit, mais non ce n’est pas pour moi, je ne ferais pas ça, ça ne me plaît pas, je n’aime pas avoir peur »
« J’ai eu 20 au bac blanc, j’étais très bon dans ce domaine-là, ça me plaisait, mais ça ne me passionnait pas, j’étais plus intéressé à regarder dehors »
« C’était la décision la plus dure de ma vie de renoncer à l’offre d’emploi de l’ami de mon père pour essayer de vivre de ma passion et c’est comme ça que ça a commencé »
« Ma maman, qui était à fond et qui me disait vas-y, tu n’imagines pas la chance que tu as, lance toi ne te pose même pas la question, tu n’es pas engagé, va faire ce que tu veux faire, et heureusement qu’elle a été là parce qu’aujourd’hui ça m’a ouvert des opportunités, des chemins que je n’aurais pas imaginé possible »
« Depuis 5 ans les records ce n’est plus ce que je recherche, je ne suis plus dans la performance, je cherche plutôt à faire quelque chose d’esthétique, que ce soit dans le geste lui-même ou dans le lieu »
« Même pour mes précédents records sur une traversée d’une heure je passais par des états de bonheur intense, on va dire où tout va bien à des moments et où très rapidement rien ne va plus, j’ai qu’une seule envie c’est de tomber et c’est là que le mental doit prendre le pas sur le physique pour aller au bout »
« La visualisation c’est un peu le moyen d’avoir confiance dans quelque chose qui est complètement incertain et de se mettre dans un état où on a la certitude profonde que ça va marcher mais on a rien de concret qui nous le montre et c’est ça qui est chouette »
« Aujourd’hui, j’arrive à vivre et ma passion parce que je fais plein de choses différentes »
« Au fond, je fais ça pour la liberté et pour savoir ce qu’on ressent là-haut il n’y a qu’une seule manière de le savoir, c’est d’aller là-haut, c’est la recherche de liberté »
« Même si on fait quelque chose qui est passionnant si on en fait trop des fois ça peut devenir quelque chose qui peut dégoûter »
« Quand on apprend jeune à marcher sur un fil et qu’on le fait quand on est solide pour pouvoir tomber, remonter, tomber, remonter à la fin, on maîtrise la chose et on tombe plus, on remonte moins, on sait tomber et on ne se fait plus mal. »
« Je me suis dit pourquoi pas moi au moment où j’ai fait le saut de sortir de la voie classique, d’essayer de vivre de ma passion sur un métier qui n’existait pas et qui était à créer, c’est à ce moment-là que je me suis dit pourquoi je ne pourrais pas vivre de ça »
« Le fait de faire quelque chose qui me plaît me pousse des fois à essayer de trouver un autre sens que simplement mon propre plaisir »
« Le but ce n’est pas d’avoir aligné 10 records, pour moi la réussite, c’est d’être bien maintenant et tout le temps, et ça, c’est un travail au quotidien et qui est primordiale pour moi »
« Pour faire référence à la montagne, je pense que des fois renoncer, c’est sauver sa vie »
« Il faut accepter que nous ne soyons pas invincibles, qu’on ne peut pas tout faire, on est tous pareils et fragiles »
« Fait -toi confiance, ai confiance en toi, tu as tes propres capacités, tu peux faire des choses incroyables »
« La chance ça se provoque, ça se saisit, il faut savoir l’écouter, mais derrière, il faut des bases très solides »
« Je pense qu’en mettant l’énergie nécessaire, les bonnes raisons et les bonnes intentions, on peut vivre de tout ce qu’on veut aujourd’hui »
L’objet choisi par Nathan Paulin dans le podcast
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