Aujourd’hui, j’ai l’immense plaisir de recevoir Alice pour ce format spécial du podcast : En chemin.
C’est notre premier rendez-vous avec Alice.
Alors qu’Alice n’a pas son bac, elle commence à travailler à 18 ans en tant que vendeuse. Trois ans plus tard, elle est responsable de boutique, mariée et maman.
Dix ans plus tard, elle divorce et a la garde totale de ses trois enfants.
Malgré cela, ne se sentant plus à sa place, elle décide de transformer son loisir en activité principale.
En effet, son compte Instagram prend de plus en plus de place dans sa vie ; elle devient donc créatrice de contenu.
C’est à la naissance de sa dernière fille que tout bascule. Son employeur prend très mal cette grossesse, et le corps d’Alice finit par lâcher. Elle est arrêtée pour burnout.
Parce qu’elle n’avait pas confiance en elle et qu’elle n’était pas sûre de sa reconversion, Alice entreprend, en 2023, le bilan de compétences nouvelle génération en parallèle de sa formation de sophrologue.
Nous sommes un an plus tard : Alice est sophrothérapeute. Je vous souhaite la bienvenue dans l’univers d’Alice Develle.
Pour écouter l’épisode de podcast avec Alice Develle
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Dans cet épisode de podcast avec Alice Develle, découvrez :
Alice nous partage :
– Sa 1ère reconversion de Directrice de boutique à Créatrice de contenu
– Sa reconversion récente en Sophro-thérapeute
Nous avons également parlé :
– De burnout
– De son ex conjoint toxique
– D’hypersensibilité
– Du bilan de compétences nouvelle génération
Je n’ai pas fait d’études. Malheureusement, en seconde, j’ai perdu ma meilleure amie qui est décédée d’anorexie. Et après, j’ai fait une phobie scolaire. Donc en première, c’était compliqué. J’ai tiré jusqu’à la terminale, mais après, j’ai eu mes 18 ans et j’ai arrêté tout avant le bac, à six mois du bac. Et donc mon père m’a dit… Ça se passait mal avec ma mère aussi, donc j’ai pris un appartement. Et mon père m’a dit : Tu as six mois, soit tu trouves du travail et en attendant, je te donne ce qu’il faut pour vivre. Si tu trouves pas, dans ce cas-là, tu seras obligé de reprendre tes études. Et j’ai trouvé un emploi de vendeuse à temps plein. Et l’année d’après, j’étais responsable de la boutique. Une boutique de lingerie.
Non, je n’ai pas le bac.
Mais après, c’est ce que je disais par rapport à mon adolescence, j’ai cherché des limites. Et maintenant, avec le recul, mon premier mariage était vraiment un mariage toxique et personne ne m’a mis d’alerte par rapport à ça. Et je pense que ça faisait partie de mon processus de recherche de limites.
Je vais être vendeuse et je vais passer responsable. Et dans ma tête, je me suis dit vraiment que c’était là où ma réussite serait d’être responsable de magasin et d’avoir ce salaire-là.
C’était vraiment l’endroit rêvé pour une responsable de magasin, pour avoir une boutique. Donc c’était vraiment le job rêvé. Et en fait, je me suis rendue compte que ça ne m’allait plus du tout, parce que… la course au chiffre d’affaires, de forcer les gens à acheter.
J’avais envie d’autres choses. J’avais vraiment envie d’autres choses.
Et j’étais très active sur Instagram. J’avais des marques qui commençaient à me contacter pour que je fasse de la pub pour eux, etc.
Comment ton corps t’a parlé ?
Il s’est arrêté. Il s’est arrêté comme une énorme grippe. Mais qui ne s’arrête pas. Et je pleurais, et je pleurais. Et c’était horrible, parce que je regardais mon bébé et je me disais : « Je t’aime d’amour, mais en fait, tu as tout fait foirer. »
Parce que j’avais un poste génial, je n’aurais pas pu rêver mieux. Je gagnais très bien ma vie. Et je ne pouvais pas lui en vouloir, mais c’était vraiment difficile, vraiment. Et donc, on a fait une rupture. J’ai dû retrouver très rapidement parce que j’avais des indemnités et du coup, on n’a pas le chômage tout de suite. C’était compliqué. Donc, j’ai trouvé autre chose dans une boîte de com, sauf que je ne m’étais pas guérie et que j’ai mis le mouchoir dessus pendant une longue période et jusqu’au jour où, de nouveau. Là, c’était encore pire. Je n’ai vraiment plus pu rien faire. Je suis restée couchée pendant des semaines.
Tu avais la conscience que c’était un burn out ?
Non, j’ai mis du temps. J’ai mis du temps parce qu’en plus, ça arrivait après ma fille et je ne voulais surtout pas faire de dépression post-partum. Donc, je m’étais dit : Non, mais c’est dans la tête, de toute façon. Et puis je me disais: Tu as tout pour être heureuse. Donc, tu n’as pas à te plaindre et je continuais. Et puis, vraiment, c’est pour ça, le vrai burn out, il est arrivé pratiquement deux ans après, le temps que je mette vraiment des mots dessus.
Et que tu tires sur la corde.
Oui.
Et avant ça, effectivement, avant que je fasse la rechute, j’étais allée voir une psy et ça ne m’avait pas du tout aidé. Et c’est d’ailleurs très important que je le dise parce que c’est pour ça qu’après, j’ai changé de travail et que j’ai décidé de faire ce que je faisais. Parce que la psy, elle allait gratter loin, loin, loin, alors que j’avais besoin d’aide là pour m’en sortir. Et elle, plus elle grattait, Je m’enfonçais, plus je m’enfonçais et plus je m’enfonçais. Et je dis des séances, c’était horrible. Je me disais: Mais je ne vais jamais m’en sortir. Et après, pendant la rechute, je suis allée voir une autre psy qui était déjà mieux.
Je ne me suis pas écoutée. Et je pense qu’il y a tout qui est arrivé en même temps. Le problème du travail, le fait que j’étais en sécurité avec mon nouveau mari et que Mais au bout d’un moment, mon corps, il m’a dit: C’est le moment. Là, on va mettre pause, tu vas te concentrer sur toi et puis on va revoir qu’est-ce qu’il faut faire.
On parle souvent du burn out, mais on ne parle pas beaucoup de l’après. Et en fait, ça laisse beaucoup de traces, un burn out. Je ne suis plus du tout la même personne. Aujourd’hui, je m’écoute beaucoup plus. Il y a des endroits où je ne vais pas, ou des gens que je ne côtoie pas parce que je sais que ça va m’affecter beaucoup plus rapidement. Je pense que j’ai toujours eu une sensibilité très forte, mais que le burn out m’a permis de l’assumer et qu’aujourd’hui, je ne m’excuse plus de pleurer facilement, de ressentir les choses.
J’ai toujours pensé que c’était une faiblesse d’être hypersensible, de ressentir les choses. Et grâce à ton parcours et grâce à ce que j’ai vécu, aujourd’hui, je sais que c’est une chance. Et dans mon métier, c’est une grande chance parce que j’ai cette sensibilité, cette intuition et les clientes que j’accompagne aujourd’hui, ça les aide beaucoup.
TEST : Suis-je hypersensible ?
Quand j’ai fait le bilan de compétences, pourquoi pas moi, j’avais déjà cheminé beaucoup sur moi-même et je m’étais dit : Est-ce que vraiment, c’est un intérêt que je le fasse ? Et en fait, ça m’a vraiment prouvé. C’est comme si ça avait checké tout ce que j’avais mis en place et ça a approfondi. Et surtout, ça m’a donné la légitimité qui me manquait. Et je manquais vraiment de légitimité. Et du coup, ça m’a permis de donner le coup de boost du début pour me dire: Allez, c’est bon, tu ne t’es pas trompée, tu peux y aller. C’est vraiment là, c’est vraiment ça que tu veux faire et qu’il faut que tu fasses.
Je me suis dit : Tu vas te former là-dessus. Mais en même temps, je me disais: Tu as fait déjà plein de métiers, les gens, ils vont dire quoi ? Voilà, le truc de remise en question. Et je me disais: Il faut que tu aies un truc qui te conforte dans ton choix. Et en même temps, les bilans de compétences que je voyais, ça me parlait pas forcément parce que j’étais vraiment dans une recherche de sens plus que de métier. Et c’est pour ça, quand j’avais trouvé, pourquoi pas moi, je me suis dit: Allez, tu as déjà une bonne piste, mais on va y aller quand même, on va voir ce que ça donne. Donc, je l’ai fait en même temps que ma formation de sophrologie.
Et je voulais savoir aussi si je choisissais la bonne voie avec la sophrologie, parce que c’est assez vaste. J’aurais pu faire plein de choses pour prendre soin des autres. Et donc, ça m’a conforté aussi dans l’idée que même si je choisis la sophrologie, je pouvais aussi rajouter d’autres cordes à mon arc, que je n’étais pas obligée de rester dans cette case et que je pouvais créer mon métier un petit peu. Et ça, ça m’a fait beaucoup de bien aussi d’entendre et de travailler là-dessus.
Donc, à la fin du bilan de compétences Nouvelle Génération, tu en es ressortie avec quoi, concrètement ?
J’en suis ressortie avec un plan d’action pour savoir comment je me lançais, comment en parler sur les réseaux, parce que j’avais aussi ce problème où je savais pas trop comment l’annoncer. C’était compliqué pour moi, toujours la légitimité. Et puis aussi l’organisation. Je voulais savoir comment m’organiser entre mon temps de travail et mon temps de famille pour pas retomber dans mes travers et passer tout mon temps à développer cette partie de travail et que j’oublie mon temps avec la famille et que du coup, ça soit pesant et que je retombe dans une fatigue familiale.
Tout ce que je fais depuis septembre dernier, il y a eu des ajustements, mais je n’ai pas laissé tomber. Ce n’est pas comme si j’avais arrêté et que je m’étais dit: Ça ne marche pas, je vais faire autre chose. C’est des ajustements, donc je teste, je teste autre chose et puis je reviendrai sûrement dessus d’une façon un petit peu différente ou pas. On verra. Mais en tout cas, le nerf de la guerre, si je peux dire, est toujours là. J’accompagne les femmes grâce à la sophrologie. Aujourd’hui, je me suis spécialisée sommeil et j’ai fait aussi une formation en psychologie positive. Donc, je me dis sophrothérapeute.
La réussite, je l’ai déjà parce que j’ai des clientes que j’accompagne depuis un an maintenant, qui continuent à venir me voir, qui vont mieux, mais qui quand même continuent à venir me voir parce que ça leur fait du bien. Je sais que je suis à ma place et c’est ça ma réussite. C’est que là, j’ai trouvé mon équilibre avec ma vie de famille, mon travail et qu’on me fait confiance pour ce que je fais, que mon mari sait aussi que je suis à ma place et moi, je me sens vraiment bien à ma place.
Et toi, qu’est-ce que tu as envie de lui dire à la petite Alice de 6 ans ?
Que ça va être dur, mais que c’est beau. Ce qui l’attend, c’est très beau et que malgré les coups durs, dans chaque coup dur, il y aura une petite merveille qui en ressortira.
Je travaille beaucoup sur le renoncement en ce moment de réussite sociale. C’est-à-dire que moi, avec Instagram, j’ai été assez propulsée. J’ai une grosse communauté, donc j’étais invitée à des événements et tout. Et dans ma tête, pendant longtemps, Ma réussite, c’était être invitée à des événements, être vue comme quelqu’un d’influence. Et du coup, là, ça fait quelques mois que je déprogramme ça en me disant que je n’ai pas besoin de ça, que d’être à Lyon, d’avoir ma clientèle, de pouvoir être avec mes enfants, c’est la vraie réussite. Je n’ai plus besoin d’avoir des articles dans les magazines. Alors si j’en ai, ça sera cool, mais justement aussi pour ma clientèle et tout ça. Mais j’étais vraiment à la course de ça, d’être invitée aux bons événements. Et ça m’a bouffé aussi. Parce qu’en fait, quand ça ne t’arrive pas et que tu passes à côté, tu te dis pourquoi moi, je n’ai pas été invitée ? Et du coup, tu crées de la rancœur qui ne sert à rien. C’est pour ça que je coupe souvent Instagram et je le dis à mes clientes aussi. Instagram, ça nous crée beaucoup de besoins dont on n’a pas besoin et beaucoup de rancœur qui n’existerait pas si on n’avait pas Instagram.
Quand on n’a pas le choix, on ne se pose pas la question.
Avant de faire le bilan de compétences Nouvelle Génération, c’était quoi tes peurs ?
C’était de ne pas être prise au sérieux dans ce nouveau travail que je voulais faire, de changer d’avis, parce que c’est vrai que j’ai testé beaucoup de choses et que je n’avais pas envie de me relancer. Je n’arrive pas trop à savoir encore si c’était une vraie peur de changer d’avis ou si c’était une peur du regard des autres, si je devais changer. Parce qu’en fait, en soi, moi, j’ai fait plein de métiers, mais à chaque fois, c’était une vraie passion. J’ai vraiment voulu le faire et ce n’était pas une lubie, c’était vraiment un truc et ça m’a appris des choses. Donc, c’est dans le regard des autres que j’ai eu un échec. Mais moi, je le vis très bien, le fait d’avoir changé plein de fois. Donc, je pense que c’est plutôt le regard des autres. C’est ça, c’était vraiment la légitimité que je cherchais. Oui, un truc de rassurant.
Est-ce qu’il y a un conseil que tu aurais aimé recevoir et que tu voudrais donner aujourd’hui ?
J’aimerais dire, parce que je m’en suis rendue compte il n’y a pas longtemps, on revient sur Instagram et ses travers, que les personnes que vous voyez sur Instagram où vous avez l’impression qu’elles ont une grosse réussite, qu’elles ont plein de clientes et que vraiment, elles, ça tombe tout droit du ciel et qu’elles ne se posent pas de questions et tout ça, la plupart du temps, ce n’est pas vrai. Ce n’est pas parce qu’elles disent qu’elles ont plein de clientes ou que vous avez l’impression qu’elles vendent plein de séances plein de programmes et tout ça que c’est vrai. Là encore, cet été, j’en ai vu deux qui arrêtaient parce qu’elles ont avoué qu’elles n’avaient pas… Alors que pour moi, je me disais: Putain, ce n’est pas possible, comment elle peut en vivre si bien ? Et elles ont arrêté parce qu’elles n’avaient pas assez de clientes. Et c’est pour ça que je trouve ça important de le dire aujourd’hui, moi, parce que ça ne sert à rien de faire croire que tout tombe du ciel comme ça. Il y a des choses qui prennent du temps et on en revient aussi à ne vous créez pas de frustration en voyant les autres sur les réseaux, parce que vous n’êtes pas sur leur compte en banque, vous ne savez pas ce qui se passe réellement.
Oui, et puis se dire aussi de combien j’ai besoin pour au moins avoir une réussite et pas de combien j’ai besoin pour que les autres aient l’impression que j’ai réussi.
C’est quoi le meilleurs conseils qui ont été donnés ?
De suivre mon intuition, de ne pas m’arrêter. Et alors, pourquoi Pourquoi pas moi avait commencé à me laisser entrevoir ça ? Ma sœur a continué à enfoncer le clou, mais de ne pas me contourner à ma formation et à ce que j’ai appris dans ma formation, mais aller me laisser guider par ce qui me semblait être bon pour les personnes que j’accompagne. C’est pour ça que j’ai fait toutes ces petites formations en plus et qu’aussi, je me laisse beaucoup guider par ce que je ressens dans les consultations, parce que si je m’étais arrêtée à ma formation de sophrologue, ça ne serait pas du tout le même métier que je ferais et pour le coup, ça me ferait pas vibrer du tout pareil.
Ça veut dire quoi pour toi être alignée ?
C’est ce que je te disais, c’est avoir l’impression d’avoir déjà réussi, même si t’as pas une réussite financière ou quoi. C’est de se dire que t’es à la bonne place, tu fais des choses qui font du bien, en tout cas qui te font du bien et que t’as pas envie d’être ailleurs.
À quel moment dans ta vie, tu t’es dit pourquoi pas moi ?
Je pense que… En fait, c’est marrant parce que je me rappelle il y a deux ans à peu près, quand j’ai retrouvé un autre job dans la com, pendant une soirée et tout, je parlais avec un copain et il me disait: C’est dommage, tu aurais dû être psy. Je lui dis: Ouais, mais franchement, il n’y a pas de formation pour être psy et tout. Et puis: Mais c’est vrai, machin. On discutait de ça. Et après, je n’y ai plus du tout pensé. Et un an après, quand je me suis questionnée sur qu’est-ce que je pouvais faire… Et d’un seul coup, ça a été ça. Ça a été pourquoi pas moi ? Parce que ça a été très rapide après, la formation de sophrologue. Tout s’est enchaîné comme s’il y avait un chemin qui s’était ouvert devant moi et qu’on me disait: Allez, c’est bon, maintenant, tu peux y aller. Alors que je n’avais jamais eu l’idée d’être sophrologue avant ça.
Je leur dirais de bousculer tout ça et de pas trop attendre. Parce que plus on attend, c’est ce que je dis à mes clientes, plus on attend, plus les risques sont grands, que notre corps nous fasse du mal, j’allais dire. Mais oui, c’est ça. Et surtout que ça peut être que mieux. Parce que si on se questionne déjà à savoir si on est à la bonne place, c’est que déjà, il y a un problème. Donc lire, moi, je lis beaucoup beaucoup, écouter des podcasts. On n’est pas obligé d’envoyer tout valser tout de suite. On peut se questionner, faire du journaling. Je disais, j’écris beaucoup et donc se questionner soi-même. On n’est pas non plus obligé d’aller voir un thérapeute. Et moi, je médite beaucoup parce que je trouve que l’inconscient parle beaucoup. Et donc moi, dans mes accompagnements, la sophronisation, c’est ça, c’est de la méditation, c’est de travailler sur l’inconscient. Et donc faire travailler son inconscient aussi pour faire ressortir ce qu’on n’arrive pas à verbaliser, c’est aussi très le temps.
Moi, je ne voulais pas un bilan de compétences juste pour le travail. J’avais besoin d’une vraie raison de vivre et de savoir effectivement que j’étais alignée, que j’étais à ma place. Et c’est ça. Donc, je dirais que même quelqu’un qui a l’impression qu’il est à sa place devrait le faire parce qu’en fait, ça nous permet de nous rassurer et de nous dire que vraiment, on est à la bonne place.
Aujourd’hui, on pense beaucoup à la réussite sociale, à avoir un travail, tout ça, mais la vraie réussite, c’est quand on arrive à équilibrer tout ça, à être heureux dans toutes les parties de notre vie et que tout s’imbrique parfaitement.
Merci à mon mari, parce qu’il m’a accompagné dans tout ça. Il m’a accompagné dans mon burn out, il m’a accompagné dans mon changement de voie. Il a toujours été fier et derrière moi alors que même moi, à des moments, je doutais et qu’il n’a jamais douté. Donc voilà. Merci mon amour.
C’est quoi tes prochains défis ?
Faire grandir ma clientèle lyonnaise avec le cabinet. Je vais avoir des événements. En plus, j’ai un espace. En fait, le cabinet fait qu’il y a un grand espace pour faire des événements une fois par mois, donc je vais pouvoir faire des ateliers avec des marques ou non. Donc c’est ça, faire grandir mon réseau lyonnais et ma clientèle lyonnaise. Trop chouette.
Pour en savoir + sur Alice Develle
Le site d’Alice Develle, son compte Instagram.
Le site de son association Bonher.